Raymond « Ti Roro » Baillergeau 1920, Port-au-Prince, 1980, Port-au-Prince
1. On l'appelle le roi du tambour. Sa virtuosité, sa géniale frappe percussive étonne, épate, éblouit plus d'un. Il est doué pour ses jeux polyrythmiques, capable de faire ressortir plusieurs gammes chromatiques, assorties de deux octaves.
2. Ti Roro semble incarner le tambour, cet instrument ancestral tant méprisé.
3. Il domine les scènes nationales et celles de l'étranger où il se produit soit avec le super Jazz des jeunes, soit avec l'orchestre Issa El Saieh, soit avec la célèbre troupe folklorique nationale.
4. C'est la période du tourisme, du bouillonnement culturel, que l'on appelle la « Belle époque ». On se souvient en 1949 du concert de la cantatrice américaine Christina Carroll au Théâtre de Verdure au cours duquel elle est accompagnée par Ti Roro au tambour.
5. Ti Roro éblouit les spectateurs lors des concerts aux Etats-Unis, au Canada, à Cuba. Il influence les jeux du célèbre batteur américain Elvin Jones.
6. Ti Roro devient dans les années cinquante la légende vivante.
7. Il entre alors au domaine public aux côtés de Lumane Casimir et de Guy Durosier, sur décision du gouvernement d’alors.
Chenald AUGUSTIN
Journaliste culturel
Le portrait de Ti Roro a été reproduit par Rull Expert BRESCARD de l’atelier l’Aurore de Cité Soleil
GRATITUDE ???????? pour Frantz VOLTAIRE pour le documentaire “ Maestro ISSA”
Contact pour LAKOU GRATITUDE
+(509)4405-4899
ABÒNE, PATAJE, LIKE ????????
1. On l'appelle le roi du tambour. Sa virtuosité, sa géniale frappe percussive étonne, épate, éblouit plus d'un. Il est doué pour ses jeux polyrythmiques, capable de faire ressortir plusieurs gammes chromatiques, assorties de deux octaves.
2. Ti Roro semble incarner le tambour, cet instrument ancestral tant méprisé.
3. Il domine les scènes nationales et celles de l'étranger où il se produit soit avec le super Jazz des jeunes, soit avec l'orchestre Issa El Saieh, soit avec la célèbre troupe folklorique nationale.
4. C'est la période du tourisme, du bouillonnement culturel, que l'on appelle la « Belle époque ». On se souvient en 1949 du concert de la cantatrice américaine Christina Carroll au Théâtre de Verdure au cours duquel elle est accompagnée par Ti Roro au tambour.
5. Ti Roro éblouit les spectateurs lors des concerts aux Etats-Unis, au Canada, à Cuba. Il influence les jeux du célèbre batteur américain Elvin Jones.
6. Ti Roro devient dans les années cinquante la légende vivante.
7. Il entre alors au domaine public aux côtés de Lumane Casimir et de Guy Durosier, sur décision du gouvernement d’alors.
Chenald AUGUSTIN
Journaliste culturel
Le portrait de Ti Roro a été reproduit par Rull Expert BRESCARD de l’atelier l’Aurore de Cité Soleil
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