???? Quelques éléments de contexte avant l’émission du lundi 1er juillet 2024 en direct à 20H
L’image qui illustre cette émission s’intitule « Présence céleste ». Il s’agit d’une photographie réalisée par Jacqueline Tis, samedi dernier 30 juin après-midi au Festival de Braffais, près du Mont St Michel, durant l’intervention que j’ai faite. Je me réjouis d’avoir rencontré Jacqueline que je félicite pour son œil attentif et que je remercie de son offrande.
Je suis aussi en joie d’avoir rencontré toutes les personnes qui se sont déplacées pour vivre ce Festival où le liberté et l’initiative individuelle ont été vécues. Merci à Ilya de cette initiative qui a permis que des assemblées se forment, que des résonnances se fassent et que le Christ Conscience Solaire soit présent et actif.
Que dire en ce premier jour de juillet qui confirme que l’été est bien là sur le calendrier officiel, même si en vrai, ce n’est pas vraiment perceptible. La théorie du réchauffement climatique est terriblement mise à mal en cette année 2024 qui ouvre le bal de l’Apocalypse révélant la vérité de tous côtés.
Je n’ai pas cherché d’informations sur le résultat des élections qui se sont tenues hier en France et continueront d’être organisées le week-end prochain. Les mêmes marionnettes sont là, chacune avec son déguisement, son narratif, ses promesses de façade dont nous savons déjà qu’elles ne sont que du sucre pour attirer les mouches. La mise en scène est la même depuis la révolution française avec des discours cyniques sur une république que nous savons inique, dans une philosophie démocratique trahie puisque fantomatique.
Jusqu’au 20ème siècle, la conscience des individus n’était absolument pas prête à utiliser l’instance de décision qui lui est propre et bien peu d’humains étaient disposés à conserver eux-mêmes leur autorité : il nous fallait déléguer à autrui, plus savant, plus instruit, notre participation à la vie sociale, notre contribution à la vie de la cité. Lentement mais sûrement, nous nous sommes habitués à constater les choix politiques effectués par les représentants élus à la majorité, approuvant de temps en temps et contestant assez souvent et toujours confrontés à la sacro-sainte majorité du scrutin démocratique. Le narratif nous expliquait qu’il n’y a pas de meilleur moyen que le vote à bulletin secret et que c’est être « mauvais citoyen » que de ne pas aller jouer dans la pièce de théâtre que d’autres écrivent pour nous.
Voici que notre conscience est maintenant assez mûre pour que les citoyens d’une nation deviennent chacun souverain et que plus aucune délégation d’autorité ne soit acceptée. Le statut de citoyen lui-même est devenu une absurdité puisqu’il est question désormais, pour chacun, de notre propre royauté de droit divin.
Un certain nombre d’entre nous ne se sent pas prêt à régner sur son royaume, estimant encore manquer de quelque chose pour s’asseoir sur son trône. La messe cathodique, l’enseignement matérialiste de la république, les religions de tout poil maintiennent un état d’hypnose, de conscience dissociée qui incite à estimer encore et encore à notre incompétence à savoir ce qui est fécond et bon pour nous et à adopter les histoires que des experts et technocrates veulent nous faire croire.
Une des croyances nécessaires au maintien de l’autorité externalisée et remise à autrui est celle selon laquelle nous aurions laissé au ciel, au plan spirituel, notre divinité, notre puissance intrinsèque. Le moyen, la voie royale pour exercer nous-mêmes notre autorité, vivre notre souveraineté, est de constater la présence divine incarnée dans nos cellules, de s’émerveiller de l’intelligence infinie de notre corps, de décider de nous reconnaître dans notre véritable identité, celle de l’être divin incarné que nous sommes. Immédiatement les lourdeurs de la peur, de la honte et de la culpabilité sont abolies, les sentiments d’illégitimité et d’imposture sont relégués aux oubliettes, les sensations d’impuissance et de victime sont remplacés par la perception du Créateur que nous sommes.
Je me réjouis donc de ces élections que je vois encore plus absurdes que toutes celles qui ont précédé car elles donnent de la puissance à la vague de conscience qui a commencé à se soulever il y a 4 années avec la Crise Organique pour une Vie Intérieure Divine. Le cynisme des pantins dirigeant les institutions de la république ne peut désormais qu’être toujours grossi, devenant tellement visible que même les aveugles et les sourds que nous sommes encore tous partiellement, les perçoivent. De ce vieux monde dualiste, il n’y a plus rien à sauver, c’est résolument vers le nouveau monde, celui du Divinhumain souverain que nous avons désormais à consacrer notre énergie, notre intelligence, notre puissance.
Merci de votre confiance
Marie-Odile
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Pour me retrouver sur les différents supports où je suis active :
https://linktr.ee/sansau
L’image qui illustre cette émission s’intitule « Présence céleste ». Il s’agit d’une photographie réalisée par Jacqueline Tis, samedi dernier 30 juin après-midi au Festival de Braffais, près du Mont St Michel, durant l’intervention que j’ai faite. Je me réjouis d’avoir rencontré Jacqueline que je félicite pour son œil attentif et que je remercie de son offrande.
Je suis aussi en joie d’avoir rencontré toutes les personnes qui se sont déplacées pour vivre ce Festival où le liberté et l’initiative individuelle ont été vécues. Merci à Ilya de cette initiative qui a permis que des assemblées se forment, que des résonnances se fassent et que le Christ Conscience Solaire soit présent et actif.
Que dire en ce premier jour de juillet qui confirme que l’été est bien là sur le calendrier officiel, même si en vrai, ce n’est pas vraiment perceptible. La théorie du réchauffement climatique est terriblement mise à mal en cette année 2024 qui ouvre le bal de l’Apocalypse révélant la vérité de tous côtés.
Je n’ai pas cherché d’informations sur le résultat des élections qui se sont tenues hier en France et continueront d’être organisées le week-end prochain. Les mêmes marionnettes sont là, chacune avec son déguisement, son narratif, ses promesses de façade dont nous savons déjà qu’elles ne sont que du sucre pour attirer les mouches. La mise en scène est la même depuis la révolution française avec des discours cyniques sur une république que nous savons inique, dans une philosophie démocratique trahie puisque fantomatique.
Jusqu’au 20ème siècle, la conscience des individus n’était absolument pas prête à utiliser l’instance de décision qui lui est propre et bien peu d’humains étaient disposés à conserver eux-mêmes leur autorité : il nous fallait déléguer à autrui, plus savant, plus instruit, notre participation à la vie sociale, notre contribution à la vie de la cité. Lentement mais sûrement, nous nous sommes habitués à constater les choix politiques effectués par les représentants élus à la majorité, approuvant de temps en temps et contestant assez souvent et toujours confrontés à la sacro-sainte majorité du scrutin démocratique. Le narratif nous expliquait qu’il n’y a pas de meilleur moyen que le vote à bulletin secret et que c’est être « mauvais citoyen » que de ne pas aller jouer dans la pièce de théâtre que d’autres écrivent pour nous.
Voici que notre conscience est maintenant assez mûre pour que les citoyens d’une nation deviennent chacun souverain et que plus aucune délégation d’autorité ne soit acceptée. Le statut de citoyen lui-même est devenu une absurdité puisqu’il est question désormais, pour chacun, de notre propre royauté de droit divin.
Un certain nombre d’entre nous ne se sent pas prêt à régner sur son royaume, estimant encore manquer de quelque chose pour s’asseoir sur son trône. La messe cathodique, l’enseignement matérialiste de la république, les religions de tout poil maintiennent un état d’hypnose, de conscience dissociée qui incite à estimer encore et encore à notre incompétence à savoir ce qui est fécond et bon pour nous et à adopter les histoires que des experts et technocrates veulent nous faire croire.
Une des croyances nécessaires au maintien de l’autorité externalisée et remise à autrui est celle selon laquelle nous aurions laissé au ciel, au plan spirituel, notre divinité, notre puissance intrinsèque. Le moyen, la voie royale pour exercer nous-mêmes notre autorité, vivre notre souveraineté, est de constater la présence divine incarnée dans nos cellules, de s’émerveiller de l’intelligence infinie de notre corps, de décider de nous reconnaître dans notre véritable identité, celle de l’être divin incarné que nous sommes. Immédiatement les lourdeurs de la peur, de la honte et de la culpabilité sont abolies, les sentiments d’illégitimité et d’imposture sont relégués aux oubliettes, les sensations d’impuissance et de victime sont remplacés par la perception du Créateur que nous sommes.
Je me réjouis donc de ces élections que je vois encore plus absurdes que toutes celles qui ont précédé car elles donnent de la puissance à la vague de conscience qui a commencé à se soulever il y a 4 années avec la Crise Organique pour une Vie Intérieure Divine. Le cynisme des pantins dirigeant les institutions de la république ne peut désormais qu’être toujours grossi, devenant tellement visible que même les aveugles et les sourds que nous sommes encore tous partiellement, les perçoivent. De ce vieux monde dualiste, il n’y a plus rien à sauver, c’est résolument vers le nouveau monde, celui du Divinhumain souverain que nous avons désormais à consacrer notre énergie, notre intelligence, notre puissance.
Merci de votre confiance
Marie-Odile
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Pour me retrouver sur les différents supports où je suis active :
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